6 éléments à considérer avant de décider de vendre votre propriété
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Voler est un cadeau que les frères Wright ont eu le génie d’offrir à l’humanité. Par contre, ce n’était qu’une question de temps. Les humains rêvent de voler depuis qu’ils ont vu les oiseaux le faire. Mais le miracle du vol humain s’accompagne de défis majeurs: comment concevoir des machines à la fois complexes, sûres et rentables?
Concevoir un avion peut sembler une tâche intimidante. Mais le développer, le tester et le produire de manière à ce qu’il soit réutilisable rapidement, hautement disponible, fiable et facile à entretenir? Voilà le véritable défi. Concevoir pour X (remplacez X par votre mot en « -ité » préféré) est un principe fondamental de la conception aérospatiale.
Il va de soi que toutes les conceptions ne deviendront pas des prototypes, et que tous les prototypes n’atteindront pas la certification ni la production. Le développement de produits dans l’industrie aérospatiale est véritablement intimidant. Il faut des milliards de dollars pour mener un projet de conception d’avion jusqu’à la production. Le niveau de risque est comparable à celui de l’industrie pharmaceutique, qui exige elle aussi des milliards pour amener un nouveau médicament sur le marché.
Au-delà des finances, il faut suivre des étapes strictes pour garantir que le produit — dans ce cas, un avion — est sûr pour le vol. C’est là qu’interviennent le développement, les essais et la certification. Au Canada, ce sont les Règlements de l’Aviation Canadienne (RAC) qui régissent la certification, et aux États-Unis, ce sont les Federal Aviation Regulations (FARs). Leurs exigences sont très similaires, et les connaître, ainsi que le processus de certification, constitue un avantage concurrentiel majeur pour toute entreprise aérospatiale.
Votre produit est certifié. Parfait. Et ensuite? La fabricabilité est essentielle. Disposer de la capacité, des compétences, des machines, des outils et des processus nécessaires pour livrer chaque composant à temps sur la chaîne d’assemblage final (FAL) est un autre avantage concurrentiel clé.
En s’appuyant sur des méthodes issues de philosophies industrielles comme le Toyota Production System (TPS), les entreprises aérospatiales peuvent garantir que les commandes, parfois planifiées des années à l’avance, sont livrées dans les délais et selon le budget.
Dans l’aérospatiale, les tolérances sont extrêmement serrées. Alors comment obtenir un processus fiable et répétitif, capable de produire des composants répondant systématiquement à ces tolérances?
Il existe de nombreuses méthodes, comme le Lean Six Sigma, permettant de surveiller statistiquement les caractéristiques clés du processus afin de détecter toute dérive avant qu’elle ne mène à une non-conformité. Et si des non-conformités surviennent? Il faut alors mettre en place des systèmes pour assurer que les produits non conformes soient correctement traités, généralement via un comité d’examen des matériaux (MRB – Material Review Board).
Seuls les composants respectant les normes les plus strictes peuvent être intégrés à des aéronefs appelés à rester sûrs en vol. Les systèmes de gestion de la qualité (QMS) et de la sécurité (SMS) des entreprises aérospatiales sont véritablement à la fine pointe.
L’avion a été conçu, fabriqué, certifié, et il vole depuis plusieurs années. Pour garantir sa navigabilité continue, il doit respecter des normes de maintenance spécifiques afin d’être considéré comme apte au vol et sécuritaire.
Les installations de Maintenance, Réparation et Révision (MRO) approuvées par la FAA ou Transports Canada (TCCA) sont les plus efficaces pour entretenir les aéronefs. Elles ont accès à toutes les publications techniques, documents consultatifs, bulletins de service, consignes de navigabilité, etc., et sont en mesure d’offrir un service de maintenance complet et rigoureux.
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